1er août 2015.

Par walid Bouchakour

Parution: LIRE ASSIA DJEBAR

http://algeriespot.com/2015/08/01/parution-lire-assia-djebar/

Compte-rendu de la rencontre littéraire à La Coupole

http://femmesmonde.com/#/seance-avril-2014/4538024

Rencontre autour du livre lors du colloque consacré à Assia Djebar à Oran

http://bel-abbes.info/?p=28972

Le journal El Watan: La soif de dire

Mounira Chatti

Compte-rendu: LIRE ASSIA DJEBAR!
Compte rendu Chatti. LIRE ASSIA DJEBAR!.
Document Adobe Acrobat 238.6 KB

Revue L'ivrescq. Première revue algérienne de littérature. Juillet 2013.

 

La revue L'ivrescq, première revue de littérature algérienne, s'entretient avec Amel Chaouati et Anne-Marie Carthé autour de LIRE ASSIA DJEBAR! . Voir rubrique Entretiens.

Henriette Algère

 

Lecture comparative entre LIRE ASSIA DJEBAR! et Passions impunies

 

A propos de Lire Assia Djebar ! , ouvrage collectif, Edition La Cheminante 2012.
et de Passions Impunies, George Steiner, Londres, essais faber and faber 1996 - Gallimard 1997. Taduit de l’anglais par Pierre Emmanuel Dauzat et louis Evrard.
 
 « Lire, c’est comparer » écrit G. Steiner dans Passions impunies :
 
« Tout acte de recevoir une forme signifiante, dans le langage, l’art, la musique est comparatif (…).Nous cherchons à comprendre, à situer l’objet devant nous – texte, peinture, sonate – en lui offrant le contexte intelligible et informatif d’une expérience préalable et apparentée. Nous nous tournons intuitivement vers l’analogie et le précédent, vers des traits qui sont comme de famille (par conséquent « familiers ») et qui rattachent la chose nouvelle à un contexte reconnaissable ». (Lire en frontalier, p.119).  
« Le lecteur peu commun » représenté dans le tableau de Chardin,  « Un philosophe occupé de sa lecture » (1734)
 
Rapprocher les deux ouvrages cités, c’est s’attarder sur la conception du « Lecteur peu commun » que G.Steiner dégage de ce tableau, pour tenter de la mettre en résonnance avec la démarche créatrice que présente l’ouvrage collectif « Lire Assia Djebar ».
 Cette démarche originale traduit une conception de l’engagement qui fait écho à la signification de l’engagement du « lecteur peu commun » : cet engagement est total, dans sa réponse et sa responsabilité, lié à son expérience, à ses habitus culturels .
 L’intellectuel, ici, comme le « lecteur peu commun » est « un être humain qui lit, une plume à la main » et pour qui « bien lire, c’est être lu par ce que nous lisons » (que les auteurs soient plasticienne, poète, psychologue, écrivain, comédien, universitaire, traducteur – et qu’il travaille avec des mots ou d’autres matériaux ).
 
Place, rôle, valeurs dans les représentations iconographiques 
 
La photographie du tableau d’Anne marie Carthé « Hommage à Assia djebar » (citation , démarche, poème) précède les actes de lecture des auteurs et les accompagne par des focalisations sur des détails de son œuvre, comme « le lecteur peu commun » en « envoi » et au centre du livre Passions impunies, analyse le tableau de Chardin, chacun adoptant sans doute, une visée transmissive et réflexive.
 « Hommage à Assia Djebar » livre une représentation du regard du lecteur, plongé, habité (habillé) de façon dynamique dans et par la densité des pages de son œuvre. Habité, éclairé  et « habillé «  sobrement, pour l’occasion, en hommage à une œuvre de marque.
 Ce regard, abstrait, rappelle aussi la vision classique de l’acte de lire : les liens entre l’auteur et le temps, le lecteur et le texte. Ce regard s’inscrit dans un espace esthétique : espace intérieur et extérieur sont délimités, dans ce tableau par la la présence symbolique du moucharabieh. Mais cet élément contribue à définir ces espaces comme complémentaires : la lecture dans son espace intime et la lecture dans son espace social, comme interaction et transmission.
 Ainsi, ce tableau signifie bien qu’il s’agit là d’un « lecteur peu commun », un peu comme « le philosophe occupé de sa lecture », qui, à son époque, représentait le lecteur savant .

23 janvier 2013

 

Yahia Belaskri: Ecrivain

 

Le cercle des Amis d'Assia Djebar, LIRE ASSIA DJEBAR!

C'est un ouvrage qui n'a "ni début ni fin" prévient la coordinatrice, Amel Chaouati, psychologue, membre de l'association LE Cercle des Amis d'Assia Djebar, maître d'oeuvre de ce livreétonnant car remarquable, d'autant qu'il est "affranchi des grilles théoriques et des exigeances académiques". de qui s'agit-il alors? d'amoureus de l'oeuvre de l'académicienne, ses lecteurs.

Lire la suite sur http://www.culturessud.com/contenu.php?id=788

Lundi 19 novembre 2012

Lire ASSIA DJEBAR! Poitn de vue de Arabian People et Maghrebian World

"Un cheminement des plus intéressants, des plus surprenants parce qu'innovant car il s'agit là d'une première: jusqu'à présent, jamais de lecteurs n'auront écrit ou publié sur un écrivain. Le Cercle des Amis d'Assia Djebar l'a osé et le résultat est des plus sympathiques après ce qui fut, d'abord, une passion de lecteurs pour arriver, par la suite, à un regard de vrais critiques littéraires que les éditions de La Cheminante on su discerner et retenir."

Lire la suite sur http://arabianpeople.blogspot.fr/2012/11/lire-assia-djebar-un-cercle-des-amis-de.html

 
 
Assia Djebar au Cercle juin 2007
Assia Djebar au Cercle juin 2007
Livre. 22 € (voir rubrique publications)
Livre. 22 € (voir rubrique publications)

 

  

«La littérature d’Assia Djebar est semblable à

la fontaine

 

où l’on s’altère, quand les idées s’assèchent.

 

à la  respiration, lorsque la pensée s’essouffle.

 

Ou à une voix, quand la sienne devient silence.

 

A un élan, quand le corpsest pris de remords.

 

A une mémoire, pour convoquer les souvenirs.

 

A l’Histoire, quand on refuse la censure.

 

A une perspective, dans un présent obscure.

 

Mais d’abord à une écriture d’art,

quand l’oralité devient simple palabre.»

 

Amel Chaouati

01 mai 2008