«La littérature d’Assia Djebar est semblable à
la fontaine
où l’on s’altère, quand les idées s’assèchent.
à la respiration, lorsque la pensée s’essouffle.
Ou à une voix, quand la sienne devient silence.
A un élan, quand le corpsest pris de remords.
A une mémoire, pour convoquer les souvenirs.
A l’Histoire, quand on refuse la censure.
A une perspective, dans un présent obscure.
Mais d’abord à une écriture d’art,
quand l’oralité devient simple palabre.»
Amel Chaouati
01 mai 2008